Vous avez reçu un diagnostic de trouble des conduites alimentaires ?
Vous contrôlez de manière importante ce que vous mangez ?
Vous présentez quotidiennement une anxiété importante face à la nourriture ?
Vous ressentez des besoins urgents de manger en grande quantité et vous vous sentez mal après avoir ingéré cette nourriture ?
Le diététicien nutritionniste est un acteur clef de la prise en charge des troubles des conduites alimentaires. La HAS et les différentes associations travaillant autour du soin aux TCA (comme la Fédération Française Anorexie Boulimie) recommande une prise en charge pluridisciplinaire adaptée au patient. Le diététicien nutritionniste peut participer aux différents axes de travail nécessaires au soin.
Nous pourrons en effet travailler sur l’équilibre des repas, le comportement alimentaire et le rythme d’ingestion, la déconstruction des représentations et pensées limitantes, le renforcement de la confiance en soi, l’équilibre global de vie (rythme, sommeil, activité physique…)…
Même si vous vivez avec ces troubles depuis de nombreuses années, il est toujours possible de gagner en flexibilité sur les comportements et pensées du quotidien.
Pour vous offrir l’accompagnement le plus complet, je me suis formée avec de nombreux spécialistes de ces troubles : le docteur Alain Perroud, Nicolas Sahuc, Marie-Claire Attié, Duncan Benveniste, Florian Saffer, les équipes du CHU de Clermont-Ferrand… Ils m’ont permis de connaître et de m’approprier les axes de travail validés et reconnus pour la prise en charge des différents TCA. De plus, ils m’ont permis d’ajuster au mieux ma communication pour un soin plus efficace.
Le but de la démarche est de vous aider à mettre en place une vie plus simple et plus naturelle, libérée des obsessions alimentaires et corporelles.
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L’objectif prioritaire est de stabiliser le comportement alimentaire et de retrouver un mieux-être durable. Une perte de poids peut être une conséquence, mais elle n’est jamais imposée comme objectif principal.
Bien sûr ! Et c’est justement l’objectif : retrouver une alimentation simple et naturelle où tous les aliments sont consommés de la même manière, sans contrôle, ni anxiété.
Quelque soit votre parcours, faire évoluer son lien avec l’alimentation et sa façon de manger est possible.
La prise en charge des troubles des conduites alimentaires est une prise en charge pluridisciplinaire. Un psychologue pourra vous aider.
Cependant je me suis formée aux TCC (thérapies comportementales et cognitives) et notamment à l’ACT (thérapie de l’acceptation et de l’engagement) pour vous aider à mettre en place un quotidien plus fonctionnel et gagner en souplesse face aux pensées stressantes, culpabilisantes, rigides qui prennent le contrôle de vos journées et de votre alimentation.
Il n’y a pas une réponse. La réponse est dépendante de chaque patient, de son contexte de vie et de son histoire.
Il faut aussi faire la différence entre un comportement alimentaire qui ne me plait pas et que je veux manger et un trouble alimentaire diagnostiqué.
Ainsi l’évolution peut être en quelques semaines, plusieurs mois ou années.
Quoiqu’il en soit, il est important de définir des objectifs réalistes et réalisables pour que chaque pas soit un pas définitif en avant et vous permette de réellement progresser vers un mieux être.
La consultation diététique peut vous permettre de comprendre les nombreux facteurs influençant votre comportement alimentaire et d’identifier ceux qui vous concernent le plus. Ensuite pour chaque facteur, nous pourrons trouver ensemble des solutions adaptées.
En consultation, je prends le temps de vous expliquer comment fonctionne l’organisme par rapport aux sensations alimentaires, ce que vous pouvez mettre en place pour mieux les écouter et comment elles se manifestent.
Quelque soit votre âge et votre histoire alimentaire, il est possible de se rééduquer à écouter les sensations alimentaires. Je suis là pour vous aider à cela.
Dans un contexte de TCA, il est possible que l’écoute des sensations alimentaires ne fasse pas parti des premiers objectifs. En effet dans un contexte de dénutrition, comme dans le cas de l’anorexie mentale, le corps est d’une certaine façon déconnecté de cette écoute. L’écoute des sensations alimentaires sera un travail secondaire mais bien sûr nécessaire.
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